15 décembre 2015 2 15 /12 /décembre /2015 09:52

Même si je n'ai pas (encore) pu aller le voir, j'ai envie d'en parler ici, parce que ce film a l'air d'être tout ce qu'on a en envie et besoin d'aller voir pour faire un monde qui va mieux...

Comme on m'a dit : "Un vrai film d'espoir".

En deux semaines, j'ai eu des échos venus de personnes très différentes, toutes enthousiastes, qui avaient toutes envie de le partager. Ce serait pas un signe, ça ?

Et j'ai une grosse pensée pour les "petits producteurs" du film (une en particulier qui se reconnaîtra ;) ), anonymes qui ont contribué au financement et qui doivent être très fiers.

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 14:50

Je sais pas chez vous mais ici, j'ai des fans de legging. C'est pratique, ça permet de porter sa jupe d'été en toute saison (genre maintenant, en hiver, hum hum), ça tient mieux qu'un collant...

Seulement voilà, un legging, qu'est-ce que ça s'use vite ! Déjà que les pantalons ont tendance à se trouer, les leggings... Et une fois troué, rien à faire : on jette. Du tissu élastique comme ça, je ne vois pas comment réparer (même si j'ai déjà coupé un legging pour en faire une version courte).

Enfin, je ne voyais pas, jusqu'au tout dernier legging de la saison, qui nous a lâché un peu tôt vu le temps. Et trouver des leggings longs en mai...

Comme je n'avais pas grand chose à perdre, j'ai testé la réparation. Et contrairement à ce que je pensais, le résultat n'est pas si mal : pas de plis disgracieux, une miss qui préfère son legging après réparation.et une maman contente (ça compte !).

Je me suis dit que je pouvais peut-être partager l'astuce avec celles qui, comme moi, se disent que c'est pas la peine d'essayer ?

Réparer un legging ?
Réparer un legging ?
Réparer un legging ?

Je sais, on frise la couture de haut niveau, là...

J'ai donc choisi une chute d'un tissu que j'aime bien, que j'ai collé au fer contre du tissu thermocollant (celui qui sert à "épaissir" les pièces, de la viseline je crois). Une fois collé dessus, le tissu ne s'effiloche plus, c'était le but.

Puis, j'ai découpé la forme souhaitée - un petit cheval de Dala, j'étais à fond dans l'influence suédoise après l'Eurovision (!).

Enfin, j'ai cousu la pièce à petits points à la main, au point de surjet (à la machine sur un truc aussi étroit, j'ose pas imaginer).

J'ai eu l'idée trop tard mais je pense qu'il aurait été utile, avant de découper la pièce, de coller du papier thermocollant, celui qui sert pour les appliqués (vous savez, on colle le tissu dessus, on enlève le "papier sulfurisé" et il reste un film de colle qui permet de coller la pièce au fer). Cela aurait permis de bien fixer la pièce sur le legging avant la couture main et de me simplifier la vie pour coudre tout en laissant le tissu du legging bien plat... Une autre fois ?

Depuis, le legging a non seulement été porté à l'école (et donc mis à rude épreuve) mais aussi lavé en machine et séché au sèche-linge - erreur de ma part, je pensais que la pièce ne tiendrait pas... ben si !

Alors, c'est peut-être pas de la haute couture mais maintenant, je sais comment faire face au prochain trou - histoire que les legging durent un (tout) petit peu plus longtemps ?

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 07:07

A part notre soirée pizza rituelle du vendredi soir, on ne peut pas dire qu'on regarde beaucoup la télé en direct. Ce qui fait que les soirs "où il y a quelque chose d'intéressant à la télé" font tout de suite un peu figure d'événements.

Hier soir, mon mari et moi avions repéré le même documentaire pour une de ces soirées exceptionnelles (ça tombe bien), à 20h50 sur Arte (on a de très bons souvenirs d'émissions sur Arte, quand j'y pense !).

On a aimé tous les deux.

 

moissonsdufuturVu d'Arte, c'était aussi une soirée événement puisque la réalisatrice, connue pour avoir tourné Le monde selon Monsanto, était présente pour un débat après l'émission. Comme je n'avais vu aucun de ses films, j'avoue que je n'ai pas été tellement impressionnée... Par contre, le sujet du documentaire m'intéressait bien : comment produire assez de nourriture pour les 9 milliards de personne prévus pour 2050 ?

Le documentaire, comme le rapporteur des nations unies sur le sujet, est formel : c'est possible, avec des méthodes de l'agriculture biologique, pas avec celles de l'agriculture conventionnelle.

 

Précisions bien les choses : il ne s'agit pas de n'importe quelles méthodes "bio" ou d'un retour à des pratiques traditionnelles ou ancestrales, mais plutôt de méthodes issues d'une recherche récente, qui utilise des associations de plantes ou des méthodes de culture pour remplacer les produits chimiques. Des méthodes qui privilégient la polyculture et qui sont plus adaptées à de petites exploitations - et qui rendent les petites exploitations beaucoup plus productives à l'hectare que les grosses.

Le film fait un tour du monde des solutions qui marchent, souvent dans des pays du Sud. Et parle d'ailleurs d'agro-écologie plutôt que d'agriculture biologique, sans doute pour distinguer des autres ces méthodes de culture innovantes.

 

Deux exemples : la milpa et le push pull. La milpa, c'est une méthode de culture traditionnelle mexicaine, qui associe le maïs, le haricot et la courge : le maïs sert de tuteur au haricot, le haricot fixe l'azote au bénéfice du maïs, les feuilles de courge font de l'ombre sur le sol et aident à conserver l'humidité... et forcément, sur une même surface, on produit à la fois du maïs, du haricot et de la courge.

Le push pull, c'est l'utilisation de deux plantes pour éviter que le maïs soit parasité par la pyrale du maïs et l'herbe des sorcières, les problèmes de sa culture au Sénégal. L'une joue un rôle de répulsif pour le parasite, qui est attiré sur l'autre où il va s'engluer (s'ils ont une méthode similaire pour envoyer les mouches sur les rubans collants, je signe tout de suite !).

Un même "problème" (la culture du maïs), deux solutions différentes en fonction du milieu. Comme je l'expliquais hier à mon mari, dans une de mes analogies bizarres dont il a l'habitude (le pauvre), c'est comme le tricot : plus l'instrument est simple, plus le résultat repose sur l'habileté et les connaissances de celui qui l'utilise...

Le bémol ? C'est une agriculture qui demande sans doute plus de main d'oeuvre. Le documentaire ne le dit pas explicitement mais c'est l'impression que j'en ai eue ; il insiste par contre sur la nécessité de revaloriser le travail des agriculteurs, à la fois la manière dont ils sont rémunérés et considérés par la société. J'avoue que moi, j'ai beaucoup de respect pour ces agriculteurs, souvent jeunes et plein d'idées, que je rencontre ici... Je suis d'autant plus fière de consommer leurs produits !

 

Si vous avez envie d'en savoir plus, le documentaire peut être revu gratuitement sur Arte + 7 pendant une semaine. C'est pour ça que j'en parle dès ce matin ! Et il y a aussi un dossier sur le site d'Arte ici.

Et si vous le regardez, vous me donnerez votre avis ?

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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 13:49

Les premiers signes du printemps, ce sont aussi les légumes qui réapparaissent au magasin de producteurs, après les semaines un peu chiches d'avril - le bonheur de retrouver les radis, les épinards, les betteraves, les salades, je ne sais pas si j'aurais pu l'imaginer il y a deux ans quand je vivais en ville !

De beaux légumes qui nous ont fait un peu jouer aux apprentis-sorciers - ou apprenties-fées ? Pourrez-vous deviner ce qu'il y a dans ce bocal ?

 

jecuisinelesfanes1.JPG

 

La réponse (et la recette) sont dans un livre très utile, sorti il n'y a pas très longtemps.

 

jecuisinelesfanes2

 

Le livre, c'est Je cuisine les fanes, d'Amandine Geers et Olivier Degorce, chez Terre Vivante (maison d'édition qui est devenue une référence chez nous).

 

Pour tout avouer, nos tentatives de soupe de fanes de radis ne m'avaient pas trop convaincue. Je sais que ça se mange, et les radis, betteraves et navets nouveaux déploient leurs plus belles feuilles sur les étalages. J'avais même croisé (et testé) une très bonne recette sur le net. Je commençais à me dire qu'il y avait moyen de faire quelque chose avec des fanes. Et c'est là que nous avons croisé ce livre qui semblait écrit pour nous...  

 

Après quelques astuces et conseils en introduction (saviez-vous qu'il valait mieux laver et essorer les fanes dès le jour de leur achat pour qu'ils se conservent mieux), le livre présente toute une série de recettes, de l'entrée au dessert. Avec l'idée de ne pas prendre les fanes comme des restes encombrants mais comme de vrais ingrédients ; les auteurs avouent d'ailleurs s'y être intéressés pour rechercher de nouvelles saveurs plutôt que par souci d'économie...

 

Nous avons donc testé la soupe de fanes de radis (celle-ci est vraiment délicieuse), les samosa (très bons aussi), les feuilles de betterave dans la salade (fameux) et les tiges de betterave confites - c'était ça, dans le pot, jolie couleur, non ? Encore pas mal de recettes à tester (et ça tombe bien, j'ai rapporté plein de fanes, euh, de légumes des courses de ce matin).

 

Alors, de nouvelles expériences culinaires, ça vous tente ?

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18 avril 2012 3 18 /04 /avril /2012 08:32

manifestenegawatt.jpgIl y a quelques semaines, j'étais plongée dans ma lecture quand miss Ju m'a posé une question piège : "de quoi il parle, maman, ton livre ?" Bel exercice de style... Allez répondre "de la transition énergétique" ou "de la sécurité des approvisionnements" à une miss de pas tout à fait 7 ans. Bel exercice de style, donc, qui oblige à se plonger au coeur du problème... Dire les choses simplement, sans prosélytisme (hors de question de faire de "l'endoctrinement facile" avec un discours trop engagé).

Je vais essayer de le refaire pour vous...

 

L'association Négawatt, ce sont des gens qui se sont réunis, il y a déjà quelques années, pour savoir comment on allait faire dans l'avenir pour trouver l'énergie dont on a besoin pour faire de l'électricité, se chauffer, se déplacer.

Pourquoi y réfléchir ? Parce qu'on sait qu'il n'y a pas des réserves de pétrole pour toujours... Là, question qui tue de ma miss : "on ne peut pas FABRIQUER du pétrole ?"

Et voilà, elle a mis le doigt dessus, ma miss...

 

On pourrait donc commencer comme ça : comme on ne peut pas fabriquer le pétrole, des gens se sont réunis pour réfléchir à comment on pourrait faire sans*... Ils ont étudié plein de moyens technologiques, retenus uniquement ceux qui existent déjà et dont on sait qu'ils marchent, et fait plein de calculs pour savoir si ces moyens pouvaient permettre de répondre à nos besoins en énergie.

Et la réponse est... oui. Et ils expliquent comment on peut faire, entre maintenant et 2050, pour le faire, en diminuant les émissions de CO2 (divisées par 16 !) et en arrêtant progressivement le nucléaire (je sais que ça va pas plaire à tout le monde, que c'est un sujet sensible, j'y reviendrai un tout petit peu après).

Alors là, forcément, vous êtes comme tout le monde, vous vous dites que c'est trop beau pour être vrai, qu'il y a un souci quelque part...

 

C'est que l'idée que défend cette association, c'est que la plus grosse réserve d'énergie, ce n'est ni le pétrole, ni le nucléaire ni les énergies renouvelables... Cette source énorme, c'est toute l'énergie qu'on peut économiser, ce qu'ils appellent les négawatt... Un "cas d'école" : le chauffage des bâtiments. Produire de l'électricité à partir d'un combustible (avec des pertes), l'acheminer (avec des pertes) pour chauffer ensuite un bâtiment mal isolé (là, je vous raconte même pas les pertes)... quel gâchis ! L'isoler correctement, c'est autant d'énergie qu'il n'y a plus besoin de produire.

Le scénario Négawatt part ainsi des besoins - parce que ce dont on a besoin, ce n'est pas d'électricité ou de pétrole, c'est de se chauffer, se déplacer, conserver ses aliments, etc - pour remonter aux moyens de production de l'énergie correspondante. En passant par trois étapes :

- sobriété (quels sont les besoins essentiels, futiles, déraisonnables... par exemple, aller passer toutes ses vacances à l'autre bout du monde, c'est pas raisonnable, se déplacer pour aller travailler ou faire des courses, c'est indispensable, et il y a tout un tas d'intermédiaires entre les deux),

- efficacité (comment y répondre avec le moins de pertes possibles),

- énergies renouvelables (l'idée forte n'étant pas tant le respect de l'environnement que le côté renouvelable, justement, donc inépuisable).

 

Ce qui m'a marquée à la lecture, c'est le pragmatisme de leur démarche. Franchement, venant d'une association écologiste, je m'attendais à un discours "zéro voiture, tous à vélo, la sobriété rend heureux, etc". Ben pas du tout. Pour la voiture, par exemple, ils diminuent très peu les courts trajets (ceux qu'on fait pour aller faire ses courses)... par contre, ils prévoient une nette diminution des trajets en avion type tourisme low cost, des téléconférences plutôt que de déplacer tout le monde tout le temps... Bref, vous voyez la logique !

La seconde chose qui m'a marquée, c'est le sérieux : ils ont calculé l'équilibre entre production et consommation d'électricité heure par heure jusqu'en 2050, pour vérifier que c'était possible !

Vous me direz : oui mais, ça doit coûter cher, tout ça. Effectivement, et le sujet des financements est traité également. En parlant au passage des emplois créés localement (il y en a, des travaux d'isolation à faire sur le parc existant).

 

J'ai dit que je dirais deux mots sur le nucléaire. C'est un sujet plutôt passionnel, d'un côté comme de l'autre, où les pro et les anti ont chacun un discours qui peut être assez véhément et pas forcément envie d'examiner les arguments des autres... On sent bien que l'association Négawatt est plutôt du côté des anti, mettant en avant le problème de la gestion des déchets et les risques d'accident. Mais finalement, ce qui domine dans leur approche, c'est plutôt le pragmatisme : l'uranium n'est pas inépuisable non plus, il faut le faire venir de l'étranger (donc il n'assure pas une autonomie énergétique), il y a de grosses pertes à la production d'électricité (seulement 30% de l'énergie dégagée est transformée en électricité). Comme on peut faire uniquement à partir d'énergies renouvelables (inépuisables), on n'a pas besoin de continuer à utiliser l'énergie nucléaire.

 

En résumé, quelque chose de très sérieux est de très complet, pour un livre qui pourtant se lit très bien (et joliment mis en page, en plus). Une lecture très intéressante... et un peu frustrante, parce que j'aimerais bien entendre les avis et les positions des uns et des autres sur le sujet, dans les débats politiques, mais le sujet reste tristement assez absent... Si vous, vous avez envie d'en savoir plus et de vous faire votre propre avis (et d'avoir des éléments pour discutter du sujet aussi), je vous encourage à découvrir ce livre ! Et vous pouvez aussi trouver des infos sur le livre (et l'association) ici.

 

* en fait, on utilise encore un tout petit peu de pétrole, dans le scénario Négawatt, en 2050 : pour le kérozène des avions, pour la chimie ou pour la sidérurgie (là où on n'a pas de solution technologiques actuelles pour s'en passer)... comme quoi, du pragmatisme et pas d'anti-pétrole non plus.

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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 10:57

Franchement, l'économie, c'est pas mon truc. Déjà, au lycée, je me souviens que je n'aimais pas ça. Et là, dans les émissions politiques (je vous rassure, je vous parlerai pas de mes opinions politiques, mais vous aussi, vous en regardez parfois, non ?), bref, dans les émissions politiques, on ne parle que de questions économiques et moi, j'y comprends toujours rien, et ça m'énerve.

 

C'est là que je tombe par hasard sur une émission de radio :  La crise pour les nuls, le B. A. BA. Franchement, un titre pareil, et une de mes émissions préférées en plus... c'était pour moi 

 

Je m'y suis donc plongée, avec mon tricot préféré bien sûr. Et je n'ai pas été déçue (même si j'avais encore des questions, on ne se refait pas, mais j'ai trouvé facilement les définitions qui me manquaient sur internet). Par contre, j'ai été surprise, très surprise...

 

manifeste.pngLe monsieur qui parlait, c'était un économiste tout ce qu'il y a de plus sérieux, Henri Sterdyniak, économiste à l'OFCE. Et je l'entends expliquer qu'il a monté un collectif, avec d'autres économistes tout aussi sérieux, universitaires, parce qu'ils étaient "atterrés". Des économistes qui disent que le libéralisme, ça n'est pas la seule voix possible, que ça ne marche pas bien, que les politiques d'austérité ne reposent pas sur des bases scientifiques, que la dette des Etats, ça n'a rien à voir avec la dette des ménages, que ça ne se résoud pas en faisant des économies...

Franchement, si je m'attendais à entre ça dans la bouche d'un économiste...

 

Alors, j'ai fureté, comme je fais toujours, et j'ai découvert le texte du manifeste d'économistes atterrés, consultable gratuitement en ligne. Des idées pas complètement nouvelles, j'avais déjà lu des choses un peu dans ce sens dans la bouche d'économistes très sérieux (dont un prix Nobel d'économie) dans Télérama. Une autre voix sur l'économie, d'autres idées, une mise en perspective...

 

Alors, est-ce qu'ils ont raison d'être atterrés ? En tous cas, ils expliquent. Que les marchés financiers ne génèrent pas de la stabilité mais au contraire des bulles spéculatives. Qu'il est faux de croire que l'envolée des dettes publiques résulte d'un excès de dépenses et que ce serait plutôt une baisse des recettes, liée à la fiscalité et à la récession économique. Avec des chiffres et tout.

 

Bref, une lecture qui m'a marquée et beaucoup fait réfléchir... - et comme d'habitude, une information que je rapproche de tout plein d'autres pour me faire mon opinion, parce que j'ai toujours fonctionné comme ça, me renseigner, rapprocher les choses et me faire mon idée à moi dessus ! En plus, ils ont écrit d'autres livres... en y mettant des propositions pour lesquelles ils ne sont pas toujours d'accord entre eux ; c'est sympa, je trouve, un collectif avec des idées multiples, des points de vue divers, qui débattent dans se séparer pour autant !

 

Bref, si vous aussi, vous avez envie d'en savoir plus sur ces histoires de questions économiques, pour vous faire votre idée (et adorer ou détester les propos des économistes atterrés), n'hésitez pas, émission de radio, lecture en ligne, un clic et vous y êtes !

 

Vous me direz si vous y comprenez un peu plus, vous 

 

... petit edit pour préciser que je viens d'écouter la seconde partie de l'émission de radio ici : elle est passionnante, les crises y sont racontées comme dans un film où tout serait vrai... si vous n'en testez qu'une, commencez par celle-là (elle peut tout à fait se suivre sans avoir écouté la première).

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